apparition d'une menace [premier sujet ^^]

un enfant était assis sur le quai, les jambes pendantes, il regardait l'horizon l'ai rêveur et les yeux vide. Une brise lui secoua les cheveux et le frais soleil du matin lui fis plisser les yeux.

Au loin une vague forme blanche apparaissait, l'embarcation de Vector arrivait au port.

le bateau amarra au port en réveillant toutes les mouettes assoupie qui si mirent ensemble à caqueter à tue tête

une voix grave secoua le jeune enfant

- dis moi où je peux trouver des gens

dit Medusa d'un ton qui impressionnerait le plus inconscient des bouffons

l'enfant sanglotait d'effroi

-allez *snif* en ville *snif* par ici

il pointa du doigt un amas de toit et de cheminée à quelque mètre d'ici

l'enfant craque et pleure toutes les larmes de son corps, Medusa passa un doigt glacial sur le lobe de son oreille et lui murmure de se taire ou lui et toute cette ville perdrait la vie.

elle bluffait mais, obtenu l'effet désiré et cela la fit jubiler

le petit parti en courant bruyamment, ses sabots frappaient le sol en pierre du port et faisait un bruit de cheval au galop. A peine les sons s'estompèrent que l'équipage du navire se mit au travail, ils déchargèrent le navire et chacun hurlais de leur voix la plus grasse un ordre à un autre

-c'est agaçant... j'en ai marre des humains

quelqu'un approche et semble vouloir se cacher

-sort de l'ombre, tu pues la forêt et la bière fermenté.

[Hors Jeu : Prend le temps de bien écrire et de vérifier les fautes, on est pas pressé ^^. Pour gagner du temps, tu peux aller sur http://bonpatron.com/ c'est plutôt utile.]

Adrian avait vu toute la scène : l'enfant qui s'était mit à pleurer à l'arrivée de l'elfe, et les menaces de cette dernière aussi. Effrayant.
Mais l'Inquisiteur n'avait pas peur de ces êtres plus que ridicules, autant de leur force minable que de leur esprit en retard.

« Sors de l'ombre, tu empestes la forêt, et la bière fermenté ! »
Mince ! Elle l'avait repéré. Adrian empoigna sa masse, au cas où et s'approcha lentement.
« Qui êtes-vous ? Que venez-vous faire ici, hein ? »

Son interlocutrice était plutôt élégante, avec de beaux cheveux noirs et une peau fine. Seule la voix tranchait le portrait en réalité.
*Une elfe comme les autres. Soit.*

« Et... qu'est-ce que vous avez fait à cet enfant ? Je l'observais depuis bien une demi-heure, il semblait plutôt content. Il a fallu que vous débarquez pour gâcher sa journée. Et pis aussi vos "menaces", tout le monde sait qu'un elfe n'est pas doté d'un tel pouvoir de destruction ! »
Il marqua une pause et réfléchit un peu. Il renifla ses bras, sa cape, son manteau.

« Et je n'empeste pas plus la bière que vous n'empestez la mort, alors tournez-vous la langue dix fois dans votre bouche avant de l'ouvrir : vous parlerez moins et ça me fera des vacances. N'oubliez pas de faire passer le message à vos semblables, elfe. » lança-t-il sur un ton de défi.

Il attendit la réponse de l'elfe, tout en observant cette dernière, provoquant un étrange frisson, pas comme s'il avait peur, mais une étrange impression, comme si on le transperçait d'une lame gelée...

[Hors Jeu : Désolé de pas avoir fait plus long, j'ai pas trop l'inspiration ^.^]

un homme à la carrure massive approcha, d'un pas lourd et trop sur de lui, comme tous les humains après tout. Mais lui, il était plus gros, plus fort que les autres, elle pouvait le sentir.

« Qui êtes-vous ? Que venez-vous faire ici, hein ? »
-si je te dis mon nom, tu n'as plus le droit de l'oublier ! Car moi je n'oublierais jamais le tien *petit ricanement inquiétant* et sache que je ne cherche simplement que du travail *elle sourit ironiquement*.

L'homme eut des mimiques étranges et semblait avoir soulevé ses bras, car l'odeur de transpiration envahie l'espace
¤répugnant...¤ pensa-t-elle très fort. Elle désirait s'amuser avec lui, voir combien de temps il tiendrait avant de lancer une attaque qu'elle parerait évidemment et lui détruire les organes grâce au KON I.
les hommes sur le navire cessèrent toute activité et c'était rassemblé sur le pont du navire afin d'observer la scène. Le soleil levant caressait le visage de Medusa et lui offrit une sensation agréable.
Elle se décala afin de retourner dans l'ombre du bateau.

« Et je n'empeste pas plus la bière que vous n'empestez la mort, alors tournez-vous la langue dix fois dans votre bouche avant de l'ouvrir : vous parlerez moins et ça me fera des vacances. N'oubliez pas de faire passer le message à vos semblables, elfe. »
c'est la première fois que quelqu'un lui parlait sur ce ton et elle détestait ça. Encore une fois un humain se croit supérieur à toute une race, sale elfophobe.
-c'est vrai... la mort n'a pas d'odeur *jubilation* les elfes ne sont plus mes semblable, puant.

[merci pour le site Wink

j'ai édité]

[Hors Jeu : Je sais pas si c'est juste une impression, mais je fais moins bien que par le passé, manquerait-il un brin d'action ?]

« C'est vrai... la mort n'a pas d'odeur. Les elfes ne sont plus mes semblable, puant. »
*Qu'est-ce qu'elle me joue comme numéro là ? Roh, tous dans l'impressionnisme ces imbéciles...*
« Oh, et bien j'imagine que vous saurez me dire ce que vous êtes, alors ? Parce qu'un elfe, avec un turban ridicule comme le votre ou non, c'est toujours un elfe, désolé de vous l'apprendre. Et d'ailleurs, si vous cherchez du travail, vous devriez plutôt le retirer, ce truc là, sur votre tête... »

Des elfes, Adrian en avait rencontré des vertes et des pas mûres, mais là, c'est le pompon dans la catégorie "Je suis ridicule et bizarre, génial" !
Avec les réactions étranges de cette dernière, l'Inquisiteur commençait à se poser quelques questions : qui c'est ? Qu'est-ce qu'elle veut vraiment ? Elle peut voir quelque chose avec son truc sur la tête ?

« Et puis, vous savez, donnez-moi votre nom, vous n'en aurez plus besoin dans la mort, qui arrivera brusquement si vos activités sont... étranges. Je surveille ce village depuis quelques jours, des bruits courent à propos de brigands. Même si ça doit n'être que des bêtises, n'en rajoutez pas davantage, vous le regretteriez. »
Il se gratta un peu la tête, l'air pensif.
« Personne à par moi ne mérite d'avoir des ennuis ici, alors n'en causez à personne et je ne vous ferais aucun mal. A la moindre étincelle s'échappant de vos doigts putrides, au moindre claquement de doigts douteux, ne serais-ce qu'une explosion qui arriverait ici, et je vous assure que vous finirez votre misérable vie d'herbivore en bouffant les pissenlits par les racines ! »

Il sortit sa gourde, ça devient presque une habitude chez lui, et en but une gorgée. Il essuya à l'aide de sa manche les gouttes qui dégoulinaient sur son visage et tendit la gourde à son interlocutrice, pour essayer de détendre ne serait-ce qu'un peu l'atmosphère lourde, qu'il encourageait inconsciemment.

L'elfe lui faisait toujours aussi froid dans le dos, et ce n'est pourtant pas simple de faire frémir un homme comme l'Inquisiteur, qui a vu des choses dépassant l'imagination de la plupart des gens.
Peut-être qu'un sortilège agit déjà, et qu'il ne s'en rendra compte que bien trop tard...
C'est pourquoi il leva doucement sa masse, sans montrer un quelconque signe d'hostilité supplémentaire, afin de pouvoir parer une attaque surprise.